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mardi 4 septembre 2012

Les ateliers Gaumont des Buttes Chaumont

En 1892  Léon Gaumont  entre au comptoir général de photographie.
La société est vendue en 1895 et Gaumont en prend la direction grâce à Gustave Eiffel et à deux autres actionnaires.
Il s'intéresse à  Demeny, inventeur au bord de la ruine du Phonoscope, appareil qui utilise un disque tournant de 16 photos pour visualiser le mouvement photographié par un appareil de prise de vues breveté  de 60mm.
Gaumont va produire ses appareils dans un atelier loué au fond de la ruelle des sonneries. ( voir plan plus bas)
L'ingénieur de Gaumont, Réné Decaux va développer à partir des brevets de Demeny  le chronophotographe qui est une caméra/projecteur  à film  de 60mm et entrainement par "came battante" ( au début du cinéma, la caméra et le projecteur sont le même appareil) .
Le premier atelier Gaumont
Au fond de l'atelier la production d’électricité
 ( il n'y en avait pas encore dans le quartier)
Ce même intérieur dans une brochure publicitaire 
à gauche chambre noire, au premier travail du bois, 
à droite tôlerie
Les fraiseuses
En 1908 La cité Elgé s'est beaucoup agrandie.
L'atelier d'origine est caché au milieu au fond. Les nouveaux
ateliers bordent la rue des alouettes actuelle ( à gauche) et la
rue Carducci (devant). La ruelle des sonneries est à droite,
en diagonale parallèle à la rue des alouettes
La cité Elgé à son extension maximale dans les années 20.
Un nouvel atelier a été construit rue des alouettes (derrière celuide 1908) mais ce sont surtout les "serres" des studios qui se sont agrandies juste avant la guerre
Les ateliers vers l'angle de la rue Carducci et de la rue des alouettes
 Au fond le lycée Jules Richard, à droite la rue du plateau 
Léon et sa femme, Camille,  habitent au 55 rue de la Villette. C'est sa  femme qui possède  la maison et le terrain qui s'étend jusqu'à  la  ruelle des sonneries (voir le plan plus bas) C'est au fond de la ruelle ( et au fond de son jardin) que Léon construira son propre  premier atelier en  janvier 1897; celui ci est réalisé en deux mois. 
Le 35 mm à perforation s'imposant, l'ingénieur Decaux conçoit un nouvel appareil dans ce format, il est présenté en avril 1897  à Demeny et commercialisé dès Novembre. 
En 1898 apparaît le "chronophotographe projecteur"  qui équipera de nombreuses salles et des cinémas forains.

Gaumont produit aussi des "visionneurs": un appareil de salon, le Kinora ( brevet Lumière), et un appareil  destiné aux foires, le mutoscope ( brevet Gasler).


En 1900, apparaît le  Gaumont Chrono de Poche, une caméra  amateur utilisant une pellicule étroite (15mm) avec perforation centrale. C'est la première caméra à utiliser un moteur à ressort.

Gaumont achète des cinémas et pour les alimenter il produit lui même ses films. Son premier réalisateur sera son ancienne secrétaire: Alice Guy.


La firme à la marguerite (hommage à sa mère), devient société anonyme en 1906 sous le nom de Société des Etablissements Gaumont ( SEG).

La cité Elgé ( les Initiales de Léon Gaumont) occupe peu à peu  tout l'espace entre les rues des alouettes, Carducci et la Villette. Elle mêle studios et usines de production d'appareils et de films. 


La firme  continue de produire dans les années 10 et 20 d’excellents projecteurs, utilisant désormais la croix de Malte pour l'entraînement de la pellicule. La came battante est également abandonnée dans les caméras en 1913.


Gaumont s’intéresse particulièrement aux problèmes du son et de la couleur. Avec la collaboration des ingénieurs Léon Frély et Georges Laudet, il est en mesure de présenter une solution de synchronisme entre phonographe et cinématographe, dès 1902. Divers modèles de Chronophones seront commercialisés à partir de 1906, du simple modèle à main, jusqu’au très sophistiqué Chronomégaphone automatique, utilisant un phonographe à deux plateaux et deux pavillons, bénéficiant d’un système d’amplification des sons par air comprimé. 


Pour utiliser le systéme, Alice Guy tourne des centaines de  "phonoscénes", courts métrage de la durée d'un disque 78 tours  ou l'on voit et entend des chanteurs ou des ballets. 

Dans les phonoscénes il sagit de "playback", Fin 1910 Gaumont présente devant l'académie des sciences les deux premiers "vrais" films parlants: Un discours du secrétaire M d'Arsonval et le chant d'un coq.

Dans le domaine de la couleur, Gaumont étudie dès 1911 un système de prise de vues et de projection trichrome obtenue par synthèse additive des couleurs. Baptisé Chronochrome, ce procédé sera exploité à partir de 1913.

Quand la guerre de 14  arrive les studios et l'usine Gaumont de la Villette représente le plus grand ensemble dédié au cinéma au monde (une cause partielle du retard américain est la guerre des brevets que livre Edison Outre-Atlantique à tous ses concurrents).


L'atelier Gaumont fabrique tout: des matériels  aux affiches en passant par le tirage des films ou leur colorisation.

Durant la guerre il faut se reconvertir et les ateliers fabriquent des postes de TSF, des projecteurs, des appareils pour les photos aériennes, des goniomètres, du matériel de pointage.. tout ce que peut produire un atelier de mécanique de précision pour l'armée.

A la fin de la guerre, la situation a complètement changée:  les américains et Hollywood surclassent totalement le cinéma français. Gaumont fait trois traversées vers les Etats Unis et en revient persuadé que l'industrie américaine est imbattable et que la seule solution est de la surclasser techniquement.

Dans les années 20, Gaumont  s'associe avec les Danois Petersen et Poulsen pour mettre au point la solution du son enregistré directement sur la pellicule. La première solution est d'avoir un film séparé pour la bande son puis ensuite deux films collés l'un sur l'autre: l'image et la bande son ( transparente à la lumière ordinaire mais enregistrée dans l'ultraviolet).  


En 1922 il fait au Gaumont palace une démonstration de film sonorisé à l'aide de disques synchronisés.
Gaumont est près du but: le film sonore. 

Son obstination ne paiera pas, les américains sont les plus forts. Ce fut De Forest et son phonofilm et finalement le succès en 1927 du "chanteur de jazzdes frères Warner ( sonorisé à l'aide de disques par le Vitaphone ). 
En 1930 Gaumont lance "l'idéal sonore" projecteur adaptable à tous les systèmes sonores (Gaumont, RCA, Movietone, Tobis,  et les procédés à disques: Vitaphone, L. N. A., etc. ).
C'est aussi en 1930 que  la Franco-Film-Aubert prend le contrôle de la SEG  pour former la Gaumont-Franco-Film-Aubert (GFFA). Léon Gaumont est écarté des affaires.  La GFFA  vivra peu:  elle  est  mise en liquidation en 1934. 
En 1938 les ateliers ferment définitivement mais les studios attenants resteront utilisés jusqu'en 1953, année durant laquelle un incendie les détruira. La RTF bâtira alors les studios René Barthélémy effaçant toute trace de la cité Elgé. Ces studios seront eux même détruits dans les années 90 et remplacés par des immeubles 

La cité Elgé

Essai de reconstitution de l'évolution de la cité Elgé.
Les constructions au liseré bleu sont des ateliers ou des bureaux, celles au liseré
 jaune sont liées au tournage.
Le plan ci contre montre l'emplacement probable du premier atelier, en violet, au fond de la ruelle des sonneries. L'habitation des Gaumont est sur la même parcelle à droite, en blanc,  au 55 rue de la Villette.
De gauche à droite sur le plan, les rues tracées verticalement sont: rue des alouettes, ruelle des sonneries, rue de la Villette
En haut le parc et les réservoirs (disparus) des Buttes Chaumont).
 Horizontalement en bas de l'image,  la partie de la rue des alouettes qui deviendra la rue Carducci
 La cité Elgé s'accroitra ensuite sur la parcelle en dessous, puis sur les parcelles longeant la rue des alouettes et occupera enfin tout l'espace entre les réservoirs, la rue de la Villette, la rue Carducci et la rue des alouettes. La ruelle des sonneries s’appellera alors "cité Elgé".
La partie Est ( à droite) sera celle des studios avec une entrée au 53 rue de la Villette. La partie Ouest celle des ateliers avec une entrée 12 rue des alouettes ( c'est à dire aujourd'hui rue Carducci à la hauteur de la "villa fleurie"). L'exception a cette disposition générale est l'imprimerie qui se trouve à L'Est le long de la rue de la Villette.

Le matériel cinématographique

Le matériel cinématographique est décrit en détail dans deux articles:

  • 1895-1900 Le chronophotographe Demeny, 
  • 1900-1932 Les projecteurs  pour salles, les lanternes, les appareils pour l'enseignement, les caméras, le cinéma d'amateur.

Deux autres articles sont consacrés aux domaines du cinéma dans lesquels Gaumont fut novateur:


Les ateliers de tirage des films

Machine à développer 1911. La pellicule est dans le boitier B , elle passe dans des tubes qui contiennent  le bain révélateur, puis le fixateur, l'eau de rincage et enfin une solution tinctorale ou de virage. Elle passe ensuite dans une armoire de sèchage.
Tireuse Gaumont et mécanisme de tireuse automatique Debrie ( la  bande pilote est visible à droite )
Intérieur de l'atelier de montage 
La suite d'opérations nécessaire au tirage d'un film est la suivante: développement du négatif, éventuellement montage, obtention d'un positif, développement du positif et mise en bobine.
Certains films étaient de plus coloriés à la main.

Au début le développement s’effectue en enroulant le film comme un pas de vis  sur des cylindres de bois d'un mètre de diamètre. Ceci exigeait de très grands cuves ( et des gars costauds) 
Gaumont substitue au cylindre des cadres étroits d'un mètre de coté  dans lequel le film est enroulé en spirale. Les cadres sont plongés dans des cuves étroites contenant beaucoup moins de liquide.
Vers 1906 on a de vraies machines de développement ou la pellicule passe automatiquement dans les divers bains, en ressort séchée mécaniquement et finalement enroulée sur des bobines. 
Vers 1911 les cuves sont remplacés par des tubes encore plus économes en liquide  

Le montage est quasi inconnu jusqu'en  1903. Les caméras sont munis ensuite d'un dispositif permettant de poinçonner la bande afin de repérer rapidement les scènes différentes. Le montage s'effectue d'abord  directement sur le   négatif. Ce n'est que plus tard que l'on effectuera des prises multiples, que l'on choisira dans les "rushes" et qu'il y aura de vraies tables de montage.

L'obtention des positifs demande une tireuse  qui impressionne une pellicule vierge  à partir du négatif . Les deux pellicules défilent simultanément et sont pressées l'une contre l'autre  à l'endroit ou une lampe, d'intensité lumineuse variable suivant le négatif,  impressionne la pellicule vierge. 
Les tireuses vont ensuite permettre de compenser automatiquement les différences d'exposition de négatifs mis bout à bout de manière à former la bande la plus longue possible (400 m en 1910). La tireuse défile  en même temps que la pellicule  une bande pilote avec des perforations qui commandent le rhéostat de la lampe d'exposition.

 Avant 1910 le  montage du positif livré au client consiste à rajouter les  2 ou 3 m de pellicule représentant le titre de la bande et à abouter des positifs différents. L'ouvrière "dispose d'une table à éclairage spécial par en dessous et au travers d'une glace dépolie. Sur sa table, elle aura à sa disposition une bobineuse, un pot de solution pour coller les bandes, une colleuse , deux corbeilles à pellicule et les outils destinés à couper les bandes" . Une bande peut comporter jusqu'à 20 collages et une  ouvrière monte de 500 à 800 m de pellicule dans une journée de 10 heures. Les risques d'incendie sont élevés à cause de la grande quantité de pellicule nitrate  présente (1)   

Le coloriage, manuel au début,.s'automatise grâce à une série de pochoirs, un par couleur,  découpés dans du film. Le film à colorier et le film découpé défilent simultanément et une brosse rotative dépose la couleur.  Cela restait un procédé cher et l'illusion de la couleur est souvent obtenue par teintage (on rajoute une couleur à toute l'image) ou par virage ( le traitement de développement rend un aspect jaune, marron, vert ou bleu le plus souvent)(2)

Le premier procédé couleur Gaumont, le chronochrome de 1913; demandait un tirage classique noir et blanc. En effet la caméra avait 3 objectifs chacun muni de filtre ( rouge, vert bleu); on impressionnait et on projetait simultanément  3 images ( avec un léger parallaxe) . Il n'y eut jamais de développement couleur à la cité Elgé mais les ateliers de montage furent les derniers à fonctionner.

Le tirage se situe probablement au Nord  dans le prolongement de l'atelier original, à la place du studio de 1902 (?). 

(1) Comme je ne suis pas du tout familier de la question, je m'étonnais  que l'on fasse un montage des titres sur le positif final. A la réflexion cela devait venir de l'impossibilité de tirer simultanément les titres et le reste des scènes qui présentent un contraste très différent sans parler des virages et teintages variés suivant les scènes dont on était friand.  
2) Regardez par exemple un épisode des vampires de Feuillade. Chaque scène a son virage ( vert pour l'extérieur, marron pour l'intérieur, bleu pour l'obscurité) et quand on allume une lampe le virage passe du bleu au marron (il se  peut cependant que ce soit  un ajout moderne). 

L'atelier des affiches et des catalogues 

Si au début Gaumont fait imprimer ses catalogues par Chaix, il ajoutera vers 1906 à son "entreprise intégrée" un atelier destiné à toute la publicité.
"Voyons d'un peu plus près les machines lithos rotatives qui débitent chaque mois des milliers d'affiches de tous formats.. chaque affiche nécessitant au moins 5 couleurs"
"jetons un coup d'oeil à l'atelier de pliage ou des mains agiles assemblent de nombreux feuillets et terminons notre promenade par l'atelier de reliure et de brochage automatique"
L'atelier est le bâtiment de deux étages à l'Est, le long de la rue de la Villette .Au rez de chaussée se trouve la salle des machines, au deuxième l'atelier de composition.  

Les appareils photos

Jumelles Carpentier Gaumont.


Gaumont prend la direction du comptoir général de la photographie en 1895  car Max Richard est obligé de vendre . Son frère  Jules Richard a gagné la procès qu'il lui a intenté  car  il avait pris l'engagement de ne pas avoir d'activité concurrentielle dans le domaine de la photo stéréoscopique et  il s'était empressé de commercialiser la photo jumelle Carpentier. 
Gaumont à" l'assurance" de pouvoir continuer à distribuer la photo jumelle mais l'engagement ne sera pas tenu. 
Gaumont renouera cependant très vite avec Carpentier et proposera le stéréoscope inverseur dès 1897 (  si on prend une plaque stéréo et si on la retourne pour la visualiser dans l'appareil il y a inversion entre droite et gauche : il faut la regarder dans un miroir obtenu par des prismes(1))
La nouvelle société va produire sa propre gamme d'appareils photos.
On aura en premier la gamme Spido (2) dès 1898. Il s'agit d'un appareil assez volumineux (et cher) dans lequel on peut décentrer l'objectif  verticalement (de manière à ce que la ligne d'horizon ne soit pas au centre de la photo bien que l'appareil soit horizontal ceci sans transformer les verticales en obliques) ou horizontalement (pour modifier le point de fuite) .
En 1902 le Spido 9x12 est doté d'un adaptateur pour pellicules. 
Le Block- notes (3) sortira en 1903, c' est un appareil "pliant", donc de faible encombrement, avec un système breveté assurant le parallélisme objectif/plaque. 
Vers 1911 ces appareils reçoivent des adaptateurs pour utiliser des pellicules "en feuilles".
Gaumont fabriquera aussi tous les accessoires ( lanterne, chambres, films,...)
Durant la guerre de 14 Gaumont fabriquera des appareils de prise de vues aériennes.
Les Spidos et block notes poursuivront leur carrière après guerre.
le gros Spido à plaques 9x14 deviendra pliant avec le même système que le block notes et sera dénommé "reporter" 
la fabrication s’arrêtera en 1930.

1) Les nouveautés photographiques ( par Frédéric Dillaye) 1897 
2) le verascope Jules Richard a un format 45 x 107mm ( 175F, 980g),  le Carpentier un format 6,5 x 9 (125F, ) , le stéréo spido 8 x 8 (625F, 2,2kg)
3) en format 4, 5 x 6, 8,5 x 9, ( et aussi  9x 12, 13x18 ou 18X 24) , existe en version stéréo. 

Les radios et les pick-ups

L'elgephone-bloc simple phonographe de 1911 et la version d’après-guerre 
Le plateau horizontal sert au réglage des postes,
le haut parleur est sur le couvercle.
Poste à 6 lampes Philips, il faut des batteries (ou des piles)
 fournissant 120 V, 80 V, 40 V et   4 volts (pour le chauffage)
(radio museum)
Dés la création du comptoir général de photographie la maison vend des phonographes.
La production démarre avec l'elgephone-bloc dont la particularité est d'avoir un pavillon avec une double articulation ce qui permet de l'orienter dans n'importe quel  direction.
Pour le cinéma Gaumont s'intéresse à l’amplification du son avec le chronophone qui projette des phonoscènes ou on voit et entend des chanteurs ou des ballets. On produira un phonographe à amplification pneumatique, l' Elgephone directement dérivé de l'appareil du chronophone  et même un Elgephone à flamme dont l'amplificateur est un chalumeau à acétylène à débit  modulé par la vibration de l'aiguille ( voir l'article "les débuts du parlant").
Parallèlement Gaumont s'intéresse à une nouveauté inventée en 1907 par Lee de Forest: la triode.
Cet intérêt lui permettra durant  la guerre de 14 de  reconvertir partiellement l'atelier dans la fabrication de postes de TSF. Il s'agit de télégraphie sans fil  utilisée essentiellement entre un ballon d'observation et les batteries au sol pour le réglage du tir. 
Après la guerre Gaumont utilise l'expérience acquise, il commercialise différents postes, les "radios SEG", puis les plus célèbres Elgédyne (1) après 1920.  
Il produit aussi des "pick ups" avec un amplificateur à lampes  
Gaumont poursuit ses expériences sur le film sonore et il faut maintenant pour la  sonorisation des salles  produire des amplificateurs à lampes, des hauts parleurs et des micros.
Gaumont fabrique des haut parleurs électrodynamiques, Radiola et Lumière, de toutes les formes et de toutes les tailles. Il y aura des lustres, des lampes, des tableaux  dans lesquels un haut parleur est dissimulé.

1) décrit complétement dans: la Nature 1er semestre 1928 p75



L'ultra haut parleur  Gaumont et son amplificateur, utilisés en 1923 sur le champ de Mars pour le centenaire de Pasteur


Sites et Références

  • Les appareils Gaumont (site Cinématographes)
  • Gaumont sur le site "la ville des gens"
  • La correspondance commerciale de Léon Gaumont 1895-1899. Association Française de recherche sur l'histoire du cinéma.
    Cette correspondance montre un patron qui s'occupe de tout, sait adopter un ton roublard, sarcastique ou obséquieux suivant les circonstances. Gaumont n'est pas un inventeur  mais s'occupe très sérieusement de tous les aspects techniques de ses appareils. Il n'existe malheureusement pas de fond équivalent pour la période suivante.
  • Le décor au cinéma, Berthomé,  Cahiers du cinéma.
  • Gaumont: 90 ans de cinéma, Hugues et Muller, Ramsay.
  • Musée Gaumont. Morceaux choisis. Gallimard
  • Catalogue Gaumont Ltd.  
  • La nature 1922 p392 Les haut-parleurs Gaumont
  • La nature 1920 2eme S p14 La cinématographie en couleurs 
  • Cinématographie scientifique et industrielle, Ducom 1921
  • Collection-appareils. Tout sur les appareils photos




3 commentaires:

  1. BOnjour,

    c'est dommage qu'ayant utilisé une image de mon site (http://www.collection-appareils.fr/gestion_catalogue/html/tableau_croise_visible_spry.php?fabricant=Carpentier&modele_catalogue=Photo-Jumelle&id=10567&orig=fr) vous ne citiez pas celui-ci.

    Cordialement

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    1. Bonjour,
      Votre site n'est pas cité sous la photo mais dans Sites et Références (premier lien). J'ajoute l'intitulé complet

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  2. Toutes mes excuses mais je ne connais pas le "mode d'emploi" de ce site. Je recherchais simplement des renseignements car ayant habité 38 rue des Alouettes jusqu'en 1963 date à laquelle nous avons été expulsés pour la démolition des studios, je recherche des images de mon ancien quartier et surtout j'aurais aimé avoir des images de l'incendie qui détruisit les studios en 53 ou 54 alors que j'étais toute petite.... Alors encore une fois toutes mes excuses...

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